Mea culpa. Il est vrai que je n’ai retenu du Maghreb des Livres que mon bavardage avec Jean Lacouture.
Je n’ai pas parlé de Yasmina Khadra caché par une grappe de groupies. Les journalistes s’en sont chargés. Ni d’Hubert Vedrine et Azzouz Begag qui papotaient et semblaient s’ennuyer ferme. J’ai bien fait de me taire car la presse a fait la promotion de ces deux produits politiques de grande consommation sans saveur littéraire.
Je n’ai pas parlé de la conférence-hommage au tunisien Mohamed Charfi , père de la première ligue des droits de l’homme en Afrique. La presse non plus à l’exception du magasine en ligne Jetset le bien nommé. J’ouvre une parenthèse, si vous vous intéressez à la Tunisie ce clic est incontournable : http://www.jetsetmagazine.net/index.php , je ferme la parenthèse.
Tout comme les médias, j’ai passé sous silence l’absence de Tahar Ben Jelloun Prix Goncourt, donc écrivain français au sens où l’entend la Fnac et celle très regrettée d’Oum Zohra la gardienne des sceaux dont les multiples biographies téléguidées figurent au top 50 des meilleurs ventes chez Auchan.
Pour me faire pardonner allez visiter le site de l’association coup de soleil en attendant l’année prochaine. http://www.coupdesoleil.net/
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